SBB Re 4/4 IVDISPONIBLE |
Livraison prévue en 2019.
Pour remplacer des automotrices vieillissantes et des locomotives à 3 essieux moteurs, les CFF commandèrent en 1959 6 prototypes, puis en 1963 une série de 76 automotrices lourdes pour trains-navettes. Leurs 64 places assises permettent d’économiser une voiture voyageur par composition. Parmi les innovations techniques, un levier de commande remplace le volant traditionnel. À partir de 1991, les automotrices de série bénéficient d’une révision R4 où elles sont transformées pour le RER zurichois. Renumérotées RBe 540, elles reçoivent les mêmes portes que les rames NPZ et la livrée traditionnelle verte disparaît au profit d’une nouvelle livrée gris/bleu/rouge.
![]() | ![]() | ![]() |
2ème série Prévue pour juillet - août 2019
Les « Pacific 231 » sont entrées depuis bientôt un siècle dans la légende ferroviaire. Et plus particulièrement les prestigieuses « 6000 » de la Compagnie des Chemins de Fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (P.L.M.).
C’est pour répondre à l’augmentation de la vitesse et des charges remorquées ainsi qu’à l’accroissement du trafic au début du vingtième siècle que le P.L.M., après le P.O., l’Ouest et le Midi, étudia et mis en service en 1909 ses premières « Pacific ». Elles ne furent ni les plus perfectionnées ni les plus puissantes des « Pacific » françaises. Mais elles furent les plus nombreuses et circulèrent dans toutes les régions. Et surtout, aux yeux de nombreux amateurs, elles furent et seront toujours les plus belles.
Livrées entre 1909 et 1932, fortes de leurs 462 unités – symboliquement le double de « 231 » –, les « Pacific » P.L.M. forment la série la plus nombreuse et la plus homogène du parc des « Pacific » françaises.
La « 6386 », construite entre 1923 et 1924 par la Compagnie des Forges et Aciéries de la Marine et d’Homécourt à Saint-Chamond, fait partie d’une série de deux cent trente unités livrées entre 1921 et 1925. Après la renumérotation de 1925, elle deviendra la 231 D 86 et partagera son existence au P.L.M. entre les dépôts de Laroche, Marseille-St-Charles, Dijon et Reims. Après la création de la SNCF, elle bénéficiera de diverses transformations et sera renumérotée 231 G 86 en 1948. Elle terminera sa carrière entre les dépôts de Nevers, Batignolles, Calais et Tergnier, jusqu’à sa radiation le 21 janvier 1964.
![]() | ![]() | ![]() |
Livraison prévue : mars - avril 2019
Ci-dessous les photos des modèles livrables.
Au début des années 1960, la SNCF avait un besoin important de locomotives Diesel-électriques de grande puissance pour remplacer les locomotives à vapeur. Une nouvelle génération de moteurs 16 cylindres SACM permettra le développement de locomotives aptes à assurer la traction de trains de voyageurs et de marchandises nécessitant des performances élevées sur nombre de lignes non électrifiées : la CC 72000 était née. Ces machines sont considérées par la plupart des amateurs comme les plus belles locomotives Diesel-électriques françaises.
![]() | ![]() | ![]() |